• chapitre I

    Je suis née 1630, en France. dans un petit village, inconnu de beaucoup. 

    Ma mère étais une traîné. Mon père évidement , je ne l ai  pas connu.

    J ai été élevé par ma mère, et à mes 15 ans, je fuit de chez moi. un trou glauque, humide où ma mère recevez des hommes plus sale les un que les autres. Je rêvais d aventures, de liberté, de tout autre chose qui ne me ferais pas pensé au taudis ou j ai passer 15 ans de ma vie.

    quelques mois plus tard, je fût employée comme femme de ménage. ce n étais pas le paradis mais bien mieux que ce que je fuyais. Je m'appelle Mary Magdalleine. et tout à commencer un soir, ou je rentrais chez moi, après une longue, très longue journée de travail. Comme il faisais froid je pris la petite ruelle effrayante, celle que je ne prenais qu en cas d urgence. Je le vis, un homme magnifique, toutes les femme se serais damné rien que pour un baisé volé. Ses yeux ambre brillaient dans le noir glacé de l'hiver naissant. Sa bouche étais tordu d un rictus effrayant et fascinant a la fois. Il étais grand, et avais tout l aire d être un gentilhomme, mais il n en avais que l aire, ses yeux m hypnotisais, je le voyais s approcher dangereusement de moi, mais je ne pouvais plus bouger, ni parler, j aurais voulu crier au secourt, tout en moi m ordonnais de fuir, mais j en étais incapable.

    Il étais à quelques centimètre de moi. je sentais son souffle froid sur mon visage, et le frisson m envahis. Il se rapprochais encore d avantage. Encore... Encore...

    Son visage étais à présent à 1 centimètre du mien, j entendais mon sang frapper contre mes tempes, un bruit semblable a un feulement s échappa de sa gorge, j étais piégé.

    "-Hé! vous là-bas!"

    merci seigneur! Un garde.

    L homme se tourna vers le garde et le feulement s amplifia, se transformant en grognement. Les yeux pleins de larme, je couru vers mon appartement, laissant derrière moi deux hommes. L un d entre eu hurla. Je couru plus vite encore. Je fonça dans quelque chose de dure, et me retrouva par terre, fasse à une masse noir. Je me frotta les yeux afin de retirer le plus de larme, et vis le gentilhomme, son menton étais maculé de sang, son regard étais à présent terrifiant. La couleur de ses yeux avais foncé, et été à présent presque rouge. Il se pencha sur moi, se passant la langue sur les lèvres en souriant. 

    Un douleur indescriptible s'empara de moi. et je tomba doucement dans les ténèbres.


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